Mai 2014 : Ma famille sera bénie si nous suivons le prophète
Semaine 3
Énoncer le point de doctrine et favoriser la compréhension
Montrer l'image et demander aux enfants de décoder le rébus.
Expliquer que le prophète ne nous donne pas de conseil en l'air, et que nous aurons des bénédictions si nous les suivons.
Nous pouvons penser que les conseils des prophètes sont anodins et qu'ils ne changent pas grand chose dans notre vie.
Lire l'histoire qu'a racontée Président Hinckley, lorsque le prophète Joseph F. Smith a instauré la soirée familiale :
En 1915, le président Joseph F.Smith a demandé aux membres de l'Eglise de tenir la soirée familiale.
Mon père a dit que nous le ferions, que nous chaufferions le salon où se trouvait le piano à queue de maman
et que nous ferions ce que le président de l'Eglise avait demandé.
Nous, les enfants, étions de très mauvais artistes. Nous pouvions faire toutes sortes de choses
ensemble, en jouant, mais demander à l'un de nous de chanter en solo devant les autres c'était comme si l'on demandait à de la crème glacée de rester dure sur le fourneau de la cuisine. Dans les premiers temps, nous nous mettions à rire et nous faisions des réflexions spirituelles sur les réalisations artistiques les uns des autres. Mais nos parents ont persévéré. Nous avons chanté ensemble. Nous avons prié ensemble. Nous avons écouté en silence pendant que maman lisait des histoires de la Bible et du Livre de Mormon. Papa nous racontait des histoires qu'il avait en tête. Je me souviens encore de l'une d'elles. Je l'ai retrouvée récemment en parcourant un livre qu'il a publié il y a quelques années. Ecoutez-la: «Deux garçons, un plus âgé que l'autre, suivaient un chemin qui traversait un champ. Ils virent, au bord du chemin, un vieux veston et une paire de souliers d'homme complètement usés et, dans le lointain, leur propriétaire qui travaillait dans le champ. Le plus jeune des garçons proposa de cacher les chaussures, de se dissimuler et de voir la tête que ferait le propriétaire quand il reviendrait.
Son aîné ... trouva que ce n'était pas une si bonne idée. Il dit que le propriétaire devait être très pauvre. Après avoir discuté de la question et à sa suggestion, ils décidèrent de faire une autre expérience. Au lieu de lui cacher ses souliers, ils allaient mettre un dollar en argent dans chacun d'eux pour voir ce que le propriétaire ferait quand il découvrirait l'argent."
Aussitôt dit, aussitôt fait. «L'homme ne tarda pas à revenir du champ, mit son veston, glissa un pied dans un des souliers, sentit quelque chose de dur, l'en sortit et trouva un dollar en argent. La stupéfaction se peignit sur son visage. Il retourna le dollar sur toutes ses faces, regarda autour de lui et ne vit personne, puis il se mit en devoir de mettre l'autre soulier. A sa grande surprise, il découvrit encore un dollar. Bouleversé, il se mit à genoux et fit à haute voix une prière d'actions de grâces dans laquelle il était question que sa femme était malade et incapable de sortir du lit et ses enfants sans rien à manger ... Il remercia Dieu avec ferveur de ce don généreux offert par des inconnus et demanda les bénédictions du ciel sur ceux qui lui avaient porté cette
aide dont il avait besoin.
Les garçons restèrent cachés jusqu'à ce qu'il fût parti. Ils avaient été touchés par sa prière et ressentirent une chaleur dans le cœur ...
Tandis qu'ils reprenaient leur chemin, l'un dit à l'autre: «Est-ce que tu ne te sens pas heureux?"
(Adapté de Bryant S. Hinckley, Not by Bread A/one, p. 95).
Ces petites réunions sans prétention organisées dans le salon de notre vieille maison ont produit quelque chose d'indescriptible et de merveilleux. Notre amour pour nos parents a été renforcé. Notre amour pour nos frères et nos sœurs s'est accru. Notre amour pour le Seigneur a augmenté. Nous avons appris à a ordinaires. Et toutes ces choses merveilleuses se sont produites parce que nos parents avaient suivi les
instructions du président de l'Eglise.
(Etoile, juillet 1993)
Favoriser la mise en pratique
Mettre les enfants en groupe; distribuer les citations de président Monson; leur demander de réfléchir en quoi cette phrase de notre prophète peut bénir leurs familles.
Faire une mise en commun
(Honnêtement, je pense que ça ne sera pas facile pour les enfants, les phrases étant quand même assez complexes; mais je n'ai pas trouvé d'autre idée ...)
Pour finir sur un aspect plus ludique, vous pouvez leur distribuer la phrase mystère suivante à décoder, et voir comment leur famille peut être bénie en mettant cette phrase en application
Énoncer le point de doctrine et favoriser la compréhension
Montrer l'image et demander aux enfants de décoder le rébus.
Expliquer que le prophète ne nous donne pas de conseil en l'air, et que nous aurons des bénédictions si nous les suivons.
Nous pouvons penser que les conseils des prophètes sont anodins et qu'ils ne changent pas grand chose dans notre vie.
Lire l'histoire qu'a racontée Président Hinckley, lorsque le prophète Joseph F. Smith a instauré la soirée familiale :
En 1915, le président Joseph F.Smith a demandé aux membres de l'Eglise de tenir la soirée familiale.
Mon père a dit que nous le ferions, que nous chaufferions le salon où se trouvait le piano à queue de maman
et que nous ferions ce que le président de l'Eglise avait demandé.
Nous, les enfants, étions de très mauvais artistes. Nous pouvions faire toutes sortes de choses
ensemble, en jouant, mais demander à l'un de nous de chanter en solo devant les autres c'était comme si l'on demandait à de la crème glacée de rester dure sur le fourneau de la cuisine. Dans les premiers temps, nous nous mettions à rire et nous faisions des réflexions spirituelles sur les réalisations artistiques les uns des autres. Mais nos parents ont persévéré. Nous avons chanté ensemble. Nous avons prié ensemble. Nous avons écouté en silence pendant que maman lisait des histoires de la Bible et du Livre de Mormon. Papa nous racontait des histoires qu'il avait en tête. Je me souviens encore de l'une d'elles. Je l'ai retrouvée récemment en parcourant un livre qu'il a publié il y a quelques années. Ecoutez-la: «Deux garçons, un plus âgé que l'autre, suivaient un chemin qui traversait un champ. Ils virent, au bord du chemin, un vieux veston et une paire de souliers d'homme complètement usés et, dans le lointain, leur propriétaire qui travaillait dans le champ. Le plus jeune des garçons proposa de cacher les chaussures, de se dissimuler et de voir la tête que ferait le propriétaire quand il reviendrait.
Son aîné ... trouva que ce n'était pas une si bonne idée. Il dit que le propriétaire devait être très pauvre. Après avoir discuté de la question et à sa suggestion, ils décidèrent de faire une autre expérience. Au lieu de lui cacher ses souliers, ils allaient mettre un dollar en argent dans chacun d'eux pour voir ce que le propriétaire ferait quand il découvrirait l'argent."
Aussitôt dit, aussitôt fait. «L'homme ne tarda pas à revenir du champ, mit son veston, glissa un pied dans un des souliers, sentit quelque chose de dur, l'en sortit et trouva un dollar en argent. La stupéfaction se peignit sur son visage. Il retourna le dollar sur toutes ses faces, regarda autour de lui et ne vit personne, puis il se mit en devoir de mettre l'autre soulier. A sa grande surprise, il découvrit encore un dollar. Bouleversé, il se mit à genoux et fit à haute voix une prière d'actions de grâces dans laquelle il était question que sa femme était malade et incapable de sortir du lit et ses enfants sans rien à manger ... Il remercia Dieu avec ferveur de ce don généreux offert par des inconnus et demanda les bénédictions du ciel sur ceux qui lui avaient porté cette
aide dont il avait besoin.
Les garçons restèrent cachés jusqu'à ce qu'il fût parti. Ils avaient été touchés par sa prière et ressentirent une chaleur dans le cœur ...
Tandis qu'ils reprenaient leur chemin, l'un dit à l'autre: «Est-ce que tu ne te sens pas heureux?"
(Adapté de Bryant S. Hinckley, Not by Bread A/one, p. 95).
Ces petites réunions sans prétention organisées dans le salon de notre vieille maison ont produit quelque chose d'indescriptible et de merveilleux. Notre amour pour nos parents a été renforcé. Notre amour pour nos frères et nos sœurs s'est accru. Notre amour pour le Seigneur a augmenté. Nous avons appris à a ordinaires. Et toutes ces choses merveilleuses se sont produites parce que nos parents avaient suivi les
instructions du président de l'Eglise.
(Etoile, juillet 1993)
Favoriser la mise en pratique
Mettre les enfants en groupe; distribuer les citations de président Monson; leur demander de réfléchir en quoi cette phrase de notre prophète peut bénir leurs familles.
Faire une mise en commun
(Honnêtement, je pense que ça ne sera pas facile pour les enfants, les phrases étant quand même assez complexes; mais je n'ai pas trouvé d'autre idée ...)
Pour finir sur un aspect plus ludique, vous pouvez leur distribuer la phrase mystère suivante à décoder, et voir comment leur famille peut être bénie en mettant cette phrase en application
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