Novembre : je suis reconnaissant(e) des bénédictions spirituelles
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Imprimer le thème , 1 par enfant
Demander aux enfants de se souvenir du thème de la semaine passée.
Leur demander de se souvenir de quelques bénédictions dont vous aviez parlé.
Expliquer que cette semaine vous allez parler d'un autre type de bénédictions.
Quand tous les enfants auront reconstitué le puzzle, faire lire l'enfant qui aura terminé en premier.
Favoriser la compréhension
Inviter un enfant à s'avancer; lui demander s'il a déjà vu son cœur . Comment peut-il savoir que son cœur est à là où il le pense?
Il en est de même pour les dons spirituels; nous ne pouvons pas les voir, mais nous les ressentons, et nous pouvons savoir que nous les possédons.
Lire 1 Cor 12:3-26 avec les enfants
Paul liste les dons et dit que chacun peut reconnaître les dons donnés par l'Esprit.
Ces dons sont donnés pour le bien de tous, aucun don n'est plus important qu'un autre, et ces dons doivent être utilisés.
Il nous est demander de rechercher nos dons et de les faire grandir afin de pouvoir aider au mieux ceux qui en ont besoin.
Pour illustrer certains de ces dons, vous pouvez raconter les histoires suivantes : Joseph Smith traduit les plaques (don de traduction), histoire du roi Salomon dans 1Rois 3:16-27 (don de la parole de sagesse), et les histoires suivantes pour
- le don des langues (tiré du magazine Friend d'avril 1989): Frère James M. Paramore a été envoyé en mission en France en 1949. A cette époque, il n'y avait pas de centre missionnaire, et lorsqu'il arriva à Paris, il n'avait jamais pratiqué la langue française. Il n'y avait pas de leçon missionnaire type; chaque missionnaire utilisait sa propre méthode pour enseigner l'Evangile.
Quelques jours après son arrivée, son compagnon apprit que sa mère était en train de mourir d'un cancer.
Comme il était à quelques semaines de la fin de sa mission, le président de mission lui permit de partir plus tôt, pour qu'il puisse encore voir sa mère, avant son décès. Si cela arrivait aujourd'hui, un missionnaire serait transféré pour que celui qui reste ne soit pas seul. Mais pas à cette époque. Frère Paramore fut donc laissé seul, jusqu'au prochain transfert.
Avant le départ de son compagnon, les 2 missionnaires avaient planifié quelques leçons missionnaire.
Frère Paramore savait qu'il devait prendre soin de ces rendez-vous. Il ne savait que faire; il ne parlait pas la langue et il n'avait pas de discussion toute prête. Il était nerveux et anxieux.
Il commença à lire le livre de Mormon et à prier aussi intensément qu'il le pouvait.
Il priait, puis lisait puis priait à nouveau et lisait à nouveau, pendant plusieurs jours.
Finalement, il alla à son premier rendez-vous chez la famille Alvarez.
C'était un couple charmant, que les missionnaires avaient commencé à enseigner.
Lorsqu'il arriva, frère Paramore ne savait pas ce qu'il allait dire. Il avait un témoignage de l’Évangile et de son rétablissement, mais il ne parlait pas français.
Mais lorsqu'il arriva chez cette famille, le Seigneur prit tout en charge. Frère Paramore les enseigna pendant deux heures. Il dit : "Je sais que ce n'était pas du bon français, mais j'étais capable de communiquer avec eux sur les sentiments que m'inspiraient l’Évangile Ils ont compris le message et ont été touchés par l'Esprit.
Ce soir là, quand je rentrais à mon appartement, je savais qu'il y avait un Père céleste, et qu'Il m'avait appelé en mission. Je savais que Père céleste veillait sur moi et m'avait aidé -avait délié ma langue- et qu'Il veillait sur tous les missionnaires.
C'était le premier témoignage spirituel que j'avais reçu sur la véracité de cette oeuvre. Une des plus grandes bénédictions de ma vie a été de servir une mission.
- et le don de la foi :
Fabriquer des briques de terre et de paille séchée était un travail très dur pour le jeune James Nielsen et sa famille. Ils vivaient dans une grande ferme à Fairview, Utah, et une partie de leur terrain possédait une argile parfaite pour la fabrication de briques. Au cours de l'été 1912, James, son père, ses frères et d'autres membres de la famille ont travaillé de longues heures à mélanger de la boue, à les modeler en forme de briques, et à les transporter au grand four où elles allaient plus tard être cuites.
A la fin de l'été, 75000 briques étaient soigneusement placées à l'intérieur du four. Les yeux de James brillaient à la vue d'un si grand nombre! Elles représentaient le travail acharné des Nielsens durant tout l'été. Le père de James mit le feu dans le four, qui devait brûler pendant trois semaines d'affilée afin de bien cuire les briques. La température du four devait rester constante. Le bois de cèdre avait été transporté et empilé à proximité pour alimenter le grand four, et «Oncle George», le beau-frère de James, surveillait le feu jour et nuit. James et ses frères se relayaient pour couper le bois et garder le feu allumé. Tout se passait bien.
Mais bientôt, il commença à pleuvoir. Il plut sans arrêt pendant plus d'une semaine. Les Nielsens allaient bientôt être à court de bois; ils ne pouvaient pas prendre leurs chevaux et leurs chariots pour chercher du bois dans les collines parce que le terrain était trop boueux. Ils ont donc brûlé tout ce qu'ils pouvaient trouver à la ferme, les poteaux des clôtures, même la remise.
James n'oublierait jamais à quel point Oncle George était démoralisé lorsqu'il il mit le dernier morceau de bois dans le four. "Les briques ne seront rien d'autre qu'un tas de boue fumée" , dit-il en fronçant les sourcils.
Le père de James croisa les bras. «Je ne sais pas grand chose sur la fabrication des briques. Je n'ai jamais fait cela auparavant. Mais je sais que notre Père céleste peut nous aider. "Il dit à Oncle George de fermer le four comme si le processus était terminé, et a suggéré à tout le monde de rentrer à la maison pour se reposer.
Le lendemain matin, James et Oncle George étaient assis ensemble à se morfondre. Les briques étaient certainement ratées. "Nous avons tous travaillé si dur", déclara James. George hocha la tête. "Et pendant si longtemps."
James remarqua que son père n'était pas ; il décida d'aller le chercher. Comme il contournait le four, il trouva son père à genoux sur le sol détrempé. James s'arrêta dans son élan. Son père priait à haute voix, en demandant au Seigneur de bénir le four à briques. James entendit son père dire au Seigneur quel point ils avaient tous travaillé et comment ils avaient fait tout leur possible pour s'assurer que les briques soient bien faites. Avec beaucoup de foi et d'humilité, le père de James demanda au Seigneur de les aider, puis a terminé sa prière. James recula rapidement pour que son père ne le voie pas.
Quand vint le moment d'ouvrir le four, la plupart des membres de la famille n'osait pas regarder les briques. Mais le père de James était calme et confiant quand il a ouvrit le haut du four. James retint son souffle quand son père sortit deux briques. Elles étaient belles! Elles étaient cuites à point et avaient la bonne couleur. Les gens sont venus de partout dans le comté de Sanpete pour les acheter. Les gens ont même acheté des morceaux cassés. Pas une seule brique ne restât.
En se souvenant de ce miracle, James écrit plus tard : «Nous, les enfants savons que cela a été fait par un détenteur de la prêtrise et par la puissance de la prière."
(magazine Friend 08/2004)
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Demander aux enfants de se souvenir du thème de la semaine passée.
Leur demander de se souvenir de quelques bénédictions dont vous aviez parlé.
Expliquer que cette semaine vous allez parler d'un autre type de bénédictions.
Quand tous les enfants auront reconstitué le puzzle, faire lire l'enfant qui aura terminé en premier.
Favoriser la compréhension
Inviter un enfant à s'avancer; lui demander s'il a déjà vu son cœur . Comment peut-il savoir que son cœur est à là où il le pense?
Il en est de même pour les dons spirituels; nous ne pouvons pas les voir, mais nous les ressentons, et nous pouvons savoir que nous les possédons.
Lire 1 Cor 12:3-26 avec les enfants
Paul liste les dons et dit que chacun peut reconnaître les dons donnés par l'Esprit.
Ces dons sont donnés pour le bien de tous, aucun don n'est plus important qu'un autre, et ces dons doivent être utilisés.
Il nous est demander de rechercher nos dons et de les faire grandir afin de pouvoir aider au mieux ceux qui en ont besoin.
Pour illustrer certains de ces dons, vous pouvez raconter les histoires suivantes : Joseph Smith traduit les plaques (don de traduction), histoire du roi Salomon dans 1Rois 3:16-27 (don de la parole de sagesse), et les histoires suivantes pour
- le don des langues (tiré du magazine Friend d'avril 1989): Frère James M. Paramore a été envoyé en mission en France en 1949. A cette époque, il n'y avait pas de centre missionnaire, et lorsqu'il arriva à Paris, il n'avait jamais pratiqué la langue française. Il n'y avait pas de leçon missionnaire type; chaque missionnaire utilisait sa propre méthode pour enseigner l'Evangile.
Quelques jours après son arrivée, son compagnon apprit que sa mère était en train de mourir d'un cancer.
Comme il était à quelques semaines de la fin de sa mission, le président de mission lui permit de partir plus tôt, pour qu'il puisse encore voir sa mère, avant son décès. Si cela arrivait aujourd'hui, un missionnaire serait transféré pour que celui qui reste ne soit pas seul. Mais pas à cette époque. Frère Paramore fut donc laissé seul, jusqu'au prochain transfert.
Avant le départ de son compagnon, les 2 missionnaires avaient planifié quelques leçons missionnaire.
Frère Paramore savait qu'il devait prendre soin de ces rendez-vous. Il ne savait que faire; il ne parlait pas la langue et il n'avait pas de discussion toute prête. Il était nerveux et anxieux.
Il commença à lire le livre de Mormon et à prier aussi intensément qu'il le pouvait.
Il priait, puis lisait puis priait à nouveau et lisait à nouveau, pendant plusieurs jours.
Finalement, il alla à son premier rendez-vous chez la famille Alvarez.
C'était un couple charmant, que les missionnaires avaient commencé à enseigner.
Lorsqu'il arriva, frère Paramore ne savait pas ce qu'il allait dire. Il avait un témoignage de l’Évangile et de son rétablissement, mais il ne parlait pas français.
Mais lorsqu'il arriva chez cette famille, le Seigneur prit tout en charge. Frère Paramore les enseigna pendant deux heures. Il dit : "Je sais que ce n'était pas du bon français, mais j'étais capable de communiquer avec eux sur les sentiments que m'inspiraient l’Évangile Ils ont compris le message et ont été touchés par l'Esprit.
Ce soir là, quand je rentrais à mon appartement, je savais qu'il y avait un Père céleste, et qu'Il m'avait appelé en mission. Je savais que Père céleste veillait sur moi et m'avait aidé -avait délié ma langue- et qu'Il veillait sur tous les missionnaires.
C'était le premier témoignage spirituel que j'avais reçu sur la véracité de cette oeuvre. Une des plus grandes bénédictions de ma vie a été de servir une mission.
- et le don de la foi :
Fabriquer des briques de terre et de paille séchée était un travail très dur pour le jeune James Nielsen et sa famille. Ils vivaient dans une grande ferme à Fairview, Utah, et une partie de leur terrain possédait une argile parfaite pour la fabrication de briques. Au cours de l'été 1912, James, son père, ses frères et d'autres membres de la famille ont travaillé de longues heures à mélanger de la boue, à les modeler en forme de briques, et à les transporter au grand four où elles allaient plus tard être cuites.
A la fin de l'été, 75000 briques étaient soigneusement placées à l'intérieur du four. Les yeux de James brillaient à la vue d'un si grand nombre! Elles représentaient le travail acharné des Nielsens durant tout l'été. Le père de James mit le feu dans le four, qui devait brûler pendant trois semaines d'affilée afin de bien cuire les briques. La température du four devait rester constante. Le bois de cèdre avait été transporté et empilé à proximité pour alimenter le grand four, et «Oncle George», le beau-frère de James, surveillait le feu jour et nuit. James et ses frères se relayaient pour couper le bois et garder le feu allumé. Tout se passait bien.
Mais bientôt, il commença à pleuvoir. Il plut sans arrêt pendant plus d'une semaine. Les Nielsens allaient bientôt être à court de bois; ils ne pouvaient pas prendre leurs chevaux et leurs chariots pour chercher du bois dans les collines parce que le terrain était trop boueux. Ils ont donc brûlé tout ce qu'ils pouvaient trouver à la ferme, les poteaux des clôtures, même la remise.
James n'oublierait jamais à quel point Oncle George était démoralisé lorsqu'il il mit le dernier morceau de bois dans le four. "Les briques ne seront rien d'autre qu'un tas de boue fumée" , dit-il en fronçant les sourcils.
Le père de James croisa les bras. «Je ne sais pas grand chose sur la fabrication des briques. Je n'ai jamais fait cela auparavant. Mais je sais que notre Père céleste peut nous aider. "Il dit à Oncle George de fermer le four comme si le processus était terminé, et a suggéré à tout le monde de rentrer à la maison pour se reposer.
Le lendemain matin, James et Oncle George étaient assis ensemble à se morfondre. Les briques étaient certainement ratées. "Nous avons tous travaillé si dur", déclara James. George hocha la tête. "Et pendant si longtemps."
James remarqua que son père n'était pas ; il décida d'aller le chercher. Comme il contournait le four, il trouva son père à genoux sur le sol détrempé. James s'arrêta dans son élan. Son père priait à haute voix, en demandant au Seigneur de bénir le four à briques. James entendit son père dire au Seigneur quel point ils avaient tous travaillé et comment ils avaient fait tout leur possible pour s'assurer que les briques soient bien faites. Avec beaucoup de foi et d'humilité, le père de James demanda au Seigneur de les aider, puis a terminé sa prière. James recula rapidement pour que son père ne le voie pas.
Quand vint le moment d'ouvrir le four, la plupart des membres de la famille n'osait pas regarder les briques. Mais le père de James était calme et confiant quand il a ouvrit le haut du four. James retint son souffle quand son père sortit deux briques. Elles étaient belles! Elles étaient cuites à point et avaient la bonne couleur. Les gens sont venus de partout dans le comté de Sanpete pour les acheter. Les gens ont même acheté des morceaux cassés. Pas une seule brique ne restât.
En se souvenant de ce miracle, James écrit plus tard : «Nous, les enfants savons que cela a été fait par un détenteur de la prêtrise et par la puissance de la prière."
(magazine Friend 08/2004)
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