Juin : Le Saint Esprit peut nous guider et nous protéger
Semaine 3
Énoncer le point de doctrine
Faire déchiffrer le thème de la semaine aux enfants
Favoriser la compréhension
Demander aux enfants de vous citer différents objets qui peuvent nous protéger : parapluie, parasol, paratonnerre, couverture, ciré .....De même que ces objets nous protègent de la pluie, du soleil etc, nous avons droit à la présence du saint Esprit pour protéger notre personne.
Raconter les deux histoires suivantes aux enfants pour illustrer le thème
"Au cours de ma vie, à de nombreuses reprises, j’ai été guidé dans ce que je devais faire et j’ai été protégé de blessures et du malin. La sollicitude et la protection du Seigneur m’ont gardé contre les actions malveillantes d’autres personnes et m’ont permis de ne pas succomber à mes mauvaises impulsions. J’ai bénéficié en particulier de cette protection par une chaude soirée d’été, dans les rues de Chicago. Je n’ai jamais raconté cette expérience en public. Je le fais maintenant parce qu’elle illustre bien mon propos.
June, ma femme, venait d’assister à une réunion de dirigeants de paroisse. Quand je suis venu la chercher en voiture, elle était accompagnée d’une soeur que nous devions déposer chez elle en rentrant. Elle habitait Woodlaw, quartier des environs, qui était le territoire d’une bande appelée les Blackstone Rangers. Je me suis garé le long du trottoir devant l’immeuble de la soeur et je l’ai accompagnée jusque dans le hall, puis jusqu’à son palier. June est restée dans la voiture, dans la 61e rue. Elle avait verrouillé toutes les portières, et j’avais laissé les clés sur le contact, pour le cas où elle aurait dû partir.
Habitant dans le sud de Chicago depuis plusieurs années, nous étions habitués à ces précautions. De retour dans le hall, j’ai regardé précautionneusement à droite et à gauche avant de sortir dans la rue. A la lumière d’un réverbère, j’ai vu qu’il n’y avait que trois jeunes gens qui passaient à pied. J’ai attendu qu’ils aient disparu, puis je me suis dirigé rapidement vers la voiture.
Arrivé du côté du conducteur, j’ai attendu que June ouvre la portière. J’ai vu alors l’un des jeunes gens qui revenait vers moi en courant. Il tenait quelque chose dans la main droite. Et je me doutais bien de ce que c’était. Je n’avais pas le temps de monter dans la voiture et de démarrer avant qu’il soit à porté de tir. Heureusement, alors qu’elle se penchait pour ouvrir la portière, June a jeté un regard dans le rétroviseur et a vu l’homme qui, un pistolet à la main, arrivait derrière la voiture. Elle n’a pas déverrouillé la portière. Pendant les deux ou trois minutes qui ont suivi, et qui nous ont paru une éternité, elle a assisté, horrifiée, à ce qui se produisait à la hauteur de ses yeux, juste devant la vitre du conducteur.
Le jeune homme m’a enfoncé son pistolet dans l’estomac et m’a dit : « Donne-moi ton argent. » J’ai sorti mon porte-feuille de ma poche et je lui ai monté qu’il était vide. Je n’avais même pas de montre à lui donner ; le bracelet s’était cassé le jour même. Je lui ai proposé quelques pièces de monnaie que j’avais dans ma poche, mais il a refusé en grognant. Il m’a ordonné : « Donne-moi les clés de ta voiture. » Je lui ai dit : « Elles
sont à l’intérieur. » Il a répondu : « Dis-lui d’ouvrir. » En un instant, j’ai réfléchi à ce qui s’ensuivrait, et j’ai refusé. Furieux, il m’a donné un coup dans l’estomac avec son pistolet, et m’a dit : « Obéis, ou je te tue. » Cela s’est passé il y a vingt-deux ans, mais je m ’en souviens comme si c’était hier. J’ai lu quelque part qu’il n’y a rien de tel pour vous faire vous concentrer que d’avoir en face de vous quelqu’un d’armé qui veut vous tuer. Devant mon refus, le jeune voleur a répété ses exigences, d’un ton plus emporté et en les scandant d’un
mouvement plus ferme de son pistolet. Je me rappelle m’être dit qu’il n’allait probablement pas tirer intentionnellement, mais que s’il ne faisait pas attention en m’enfonçant ce pistolet dans l’estomac, il pouvait me tirer dessus sans le vouloir. Le pistolet ne paraissait pas de bonne qualité, et j’avais peur que la détente se déclenche toute seule. « Donne-moi ton argent. » « Je n’en ai pas. » Donne-moi les clés de ta voiture. « Elles sont à l’intérieur. » Dis-lui d’ouvrir la portière. « Pas question. » Si t’obéis pas, je te tue. » Pas question. Dans la voiture, June ne pouvait pas entendre la conversation, mais elle pouvait voir le pistolet qui s’agitait. Déchirée, elle ne savait que faire. Ouvrir la portière ? Klaxonner ? Démarrer ? Toutes les solutions qu’elle envisageait risquaient d’aggraver les choses. Elle a donc attendu en priant. Elle a alors été envahie par un sentiment de paix. Elle a eu l’impression que tout irait bien. Soudain, pour la première fois, j’ai entrevu une possibilité d’aide. Derrière le voleur, un autobus s’est approché. Il s’est arrêté à moins d’une dizaine de mètres. Un passager en est descendu et s’est éloigné à toute allure. Le chauffeur m’a regardé, mais j’ai vu qu’il n’allait pas essayer de me porter secours. Comme cela se passait derrière le jeune voleur, hors de sa vue, il s’est énervé et a relâché son attention. Son pistolet s’est détourné de mon estomac, le canon pointé légèrement vers ma gauche. J’avais déjà le bras un peu levé. D’un geste rapide, je pouvais saisir le pistolet et me battre avec lui sans risque d’être atteint. J’étais plus grand et plus lourd que le jeune homme et, à l’époque, j’étais assez sportif. J’étais certain de l’emporter après une lutte rapide, si je pouvais éliminer le pistolet.
Au moment même où j’allais agir, j’ai eu une expérience unique. Je n’ai rien vu ni rien entendu, mais j’ai eu la certitude de quelque chose. J’ai su avec certitude ce qui allait arriver si j’attrapais le pistolet. Nous nous battrions, je retournerais le pistolet contre la poitrine du jeune homme. Le coup partirait et il mourrait. Je me suis aussi rendu compte que je ne voulais pas avoir le sang de ce jeune homme sur la conscience tout le reste
de ma vie. Je me suis détendu et, tandis que l’autobus s’éloignait, j’ai eu l’inspiration de lui poser la main gauche sur l’épaule et de le sermonner. Je l’ai fait. Nous avions des enfants adolescents à l’époque, et j’avais l’habitude de les sermonner. Je lui ai dit : « Dis donc, ce n’est pas bien, ce que tu fais. S’il arrive une voiture de police, tu peux te faire tuer, ou mettre en prison, pour ça. » Continuant de m’appuyer le pistolet dans l’estomac, le jeune voleur a répondu à mon sermon en réitérant ses exigences. Mais cette fois, sa voix était moins ferme. Quand il a proféré sa dernière menace de me tuer, il n’était pas convaincant. J’ai refusé. Il a hésité un instant, a fourré le pistolet dans sa poche et s’est éloigné en courant.
June a ouvert la portière et nous avons démarré, en faisant une prière de remerciement.
Nous venions de bénéficier de la protection miraculeuse illustrée dans les histoires de la Bible que j’avais lues étant enfant." (Dallin H. Oaks, Histoires de la Bible et protection personnelle, Liahona janvier 1993)
Au feu !!
"J'ai grandi dans une ferme à l'extérieur de la ville. Un soir, mes parents étaient absents à cause des réunions de l'église, et j'étais responsable de mes frères et sœurs. Un de mes jeunes frères est venu en courant à la maison et m'a dit que le garage était en feu. Le garage était distant de seulement quelques mètres de notre maison. Un des côtés du garage où mon père avait réparé un tracteur était en feu, et les flammes avaient atteint la voiture de l'autre côté. Je dis à mes frères de s'éloigner du garage afin de ne pas être blessé. Je pris alors un balai et a commençai à battre le feu.
Un de mes frères est venu m' aider, mais il a soudainement pris feu et a commencé à courir. Je lui hurlais de s'arrêter et de se rouler par terre, mais il a continué à courir. Je courrais après lui et l'ai jeté par terre pour éteindre les flammes.
La pensée m'est alors venue de le mettre dans le canal près de notre maison. Je lui ai dit de le faire pendant que je combattais le reste de l'incendie.
Je sais que j'ai eu l'aide de notre Père céleste pour savoir ce que je devais faire pour éteindre le feu ce jour-là. Les médecins ont dit que si je n'avais pas dit à mon frère de se tenir dans l'eau froide du canal, il aurait eu besoin d'une opération pour réparer ses brûlures. Au lieu de cela il a si bien guéri s qu'il n'a eu qu'une petite cicatrice sur son pied. Ce fut un miracle.
Je sais que notre Père céleste écoute nos prières et qu'il veille sur nous. Il est prêt à nous aider quand nous prions, écoutons et suivons les inspirations du Saint-Esprit". (Cheryl A. Esplin, The Friend, mai 2012)
Favoriser la mise en pratique
Je sèche un peu pour la mise en pratique; mais vous pourriez peut être reprendre l'idée du parapluie ... faire dessiner un parapluie ou leur donner une belle image d'un parapluie et les enfants y écrive un engagement qu'ils prennent durant la semaine pour mieux écouter le Saint Esprit.
Énoncer le point de doctrine
Faire déchiffrer le thème de la semaine aux enfants
Demander aux enfants de vous citer différents objets qui peuvent nous protéger : parapluie, parasol, paratonnerre, couverture, ciré .....De même que ces objets nous protègent de la pluie, du soleil etc, nous avons droit à la présence du saint Esprit pour protéger notre personne.
Raconter les deux histoires suivantes aux enfants pour illustrer le thème
"Au cours de ma vie, à de nombreuses reprises, j’ai été guidé dans ce que je devais faire et j’ai été protégé de blessures et du malin. La sollicitude et la protection du Seigneur m’ont gardé contre les actions malveillantes d’autres personnes et m’ont permis de ne pas succomber à mes mauvaises impulsions. J’ai bénéficié en particulier de cette protection par une chaude soirée d’été, dans les rues de Chicago. Je n’ai jamais raconté cette expérience en public. Je le fais maintenant parce qu’elle illustre bien mon propos.
June, ma femme, venait d’assister à une réunion de dirigeants de paroisse. Quand je suis venu la chercher en voiture, elle était accompagnée d’une soeur que nous devions déposer chez elle en rentrant. Elle habitait Woodlaw, quartier des environs, qui était le territoire d’une bande appelée les Blackstone Rangers. Je me suis garé le long du trottoir devant l’immeuble de la soeur et je l’ai accompagnée jusque dans le hall, puis jusqu’à son palier. June est restée dans la voiture, dans la 61e rue. Elle avait verrouillé toutes les portières, et j’avais laissé les clés sur le contact, pour le cas où elle aurait dû partir.
Habitant dans le sud de Chicago depuis plusieurs années, nous étions habitués à ces précautions. De retour dans le hall, j’ai regardé précautionneusement à droite et à gauche avant de sortir dans la rue. A la lumière d’un réverbère, j’ai vu qu’il n’y avait que trois jeunes gens qui passaient à pied. J’ai attendu qu’ils aient disparu, puis je me suis dirigé rapidement vers la voiture.
Arrivé du côté du conducteur, j’ai attendu que June ouvre la portière. J’ai vu alors l’un des jeunes gens qui revenait vers moi en courant. Il tenait quelque chose dans la main droite. Et je me doutais bien de ce que c’était. Je n’avais pas le temps de monter dans la voiture et de démarrer avant qu’il soit à porté de tir. Heureusement, alors qu’elle se penchait pour ouvrir la portière, June a jeté un regard dans le rétroviseur et a vu l’homme qui, un pistolet à la main, arrivait derrière la voiture. Elle n’a pas déverrouillé la portière. Pendant les deux ou trois minutes qui ont suivi, et qui nous ont paru une éternité, elle a assisté, horrifiée, à ce qui se produisait à la hauteur de ses yeux, juste devant la vitre du conducteur.
Le jeune homme m’a enfoncé son pistolet dans l’estomac et m’a dit : « Donne-moi ton argent. » J’ai sorti mon porte-feuille de ma poche et je lui ai monté qu’il était vide. Je n’avais même pas de montre à lui donner ; le bracelet s’était cassé le jour même. Je lui ai proposé quelques pièces de monnaie que j’avais dans ma poche, mais il a refusé en grognant. Il m’a ordonné : « Donne-moi les clés de ta voiture. » Je lui ai dit : « Elles
sont à l’intérieur. » Il a répondu : « Dis-lui d’ouvrir. » En un instant, j’ai réfléchi à ce qui s’ensuivrait, et j’ai refusé. Furieux, il m’a donné un coup dans l’estomac avec son pistolet, et m’a dit : « Obéis, ou je te tue. » Cela s’est passé il y a vingt-deux ans, mais je m ’en souviens comme si c’était hier. J’ai lu quelque part qu’il n’y a rien de tel pour vous faire vous concentrer que d’avoir en face de vous quelqu’un d’armé qui veut vous tuer. Devant mon refus, le jeune voleur a répété ses exigences, d’un ton plus emporté et en les scandant d’un
mouvement plus ferme de son pistolet. Je me rappelle m’être dit qu’il n’allait probablement pas tirer intentionnellement, mais que s’il ne faisait pas attention en m’enfonçant ce pistolet dans l’estomac, il pouvait me tirer dessus sans le vouloir. Le pistolet ne paraissait pas de bonne qualité, et j’avais peur que la détente se déclenche toute seule. « Donne-moi ton argent. » « Je n’en ai pas. » Donne-moi les clés de ta voiture. « Elles sont à l’intérieur. » Dis-lui d’ouvrir la portière. « Pas question. » Si t’obéis pas, je te tue. » Pas question. Dans la voiture, June ne pouvait pas entendre la conversation, mais elle pouvait voir le pistolet qui s’agitait. Déchirée, elle ne savait que faire. Ouvrir la portière ? Klaxonner ? Démarrer ? Toutes les solutions qu’elle envisageait risquaient d’aggraver les choses. Elle a donc attendu en priant. Elle a alors été envahie par un sentiment de paix. Elle a eu l’impression que tout irait bien. Soudain, pour la première fois, j’ai entrevu une possibilité d’aide. Derrière le voleur, un autobus s’est approché. Il s’est arrêté à moins d’une dizaine de mètres. Un passager en est descendu et s’est éloigné à toute allure. Le chauffeur m’a regardé, mais j’ai vu qu’il n’allait pas essayer de me porter secours. Comme cela se passait derrière le jeune voleur, hors de sa vue, il s’est énervé et a relâché son attention. Son pistolet s’est détourné de mon estomac, le canon pointé légèrement vers ma gauche. J’avais déjà le bras un peu levé. D’un geste rapide, je pouvais saisir le pistolet et me battre avec lui sans risque d’être atteint. J’étais plus grand et plus lourd que le jeune homme et, à l’époque, j’étais assez sportif. J’étais certain de l’emporter après une lutte rapide, si je pouvais éliminer le pistolet.
Au moment même où j’allais agir, j’ai eu une expérience unique. Je n’ai rien vu ni rien entendu, mais j’ai eu la certitude de quelque chose. J’ai su avec certitude ce qui allait arriver si j’attrapais le pistolet. Nous nous battrions, je retournerais le pistolet contre la poitrine du jeune homme. Le coup partirait et il mourrait. Je me suis aussi rendu compte que je ne voulais pas avoir le sang de ce jeune homme sur la conscience tout le reste
de ma vie. Je me suis détendu et, tandis que l’autobus s’éloignait, j’ai eu l’inspiration de lui poser la main gauche sur l’épaule et de le sermonner. Je l’ai fait. Nous avions des enfants adolescents à l’époque, et j’avais l’habitude de les sermonner. Je lui ai dit : « Dis donc, ce n’est pas bien, ce que tu fais. S’il arrive une voiture de police, tu peux te faire tuer, ou mettre en prison, pour ça. » Continuant de m’appuyer le pistolet dans l’estomac, le jeune voleur a répondu à mon sermon en réitérant ses exigences. Mais cette fois, sa voix était moins ferme. Quand il a proféré sa dernière menace de me tuer, il n’était pas convaincant. J’ai refusé. Il a hésité un instant, a fourré le pistolet dans sa poche et s’est éloigné en courant.
June a ouvert la portière et nous avons démarré, en faisant une prière de remerciement.
Nous venions de bénéficier de la protection miraculeuse illustrée dans les histoires de la Bible que j’avais lues étant enfant." (Dallin H. Oaks, Histoires de la Bible et protection personnelle, Liahona janvier 1993)
Au feu !!
"J'ai grandi dans une ferme à l'extérieur de la ville. Un soir, mes parents étaient absents à cause des réunions de l'église, et j'étais responsable de mes frères et sœurs. Un de mes jeunes frères est venu en courant à la maison et m'a dit que le garage était en feu. Le garage était distant de seulement quelques mètres de notre maison. Un des côtés du garage où mon père avait réparé un tracteur était en feu, et les flammes avaient atteint la voiture de l'autre côté. Je dis à mes frères de s'éloigner du garage afin de ne pas être blessé. Je pris alors un balai et a commençai à battre le feu.
Un de mes frères est venu m' aider, mais il a soudainement pris feu et a commencé à courir. Je lui hurlais de s'arrêter et de se rouler par terre, mais il a continué à courir. Je courrais après lui et l'ai jeté par terre pour éteindre les flammes.
La pensée m'est alors venue de le mettre dans le canal près de notre maison. Je lui ai dit de le faire pendant que je combattais le reste de l'incendie.
Je sais que j'ai eu l'aide de notre Père céleste pour savoir ce que je devais faire pour éteindre le feu ce jour-là. Les médecins ont dit que si je n'avais pas dit à mon frère de se tenir dans l'eau froide du canal, il aurait eu besoin d'une opération pour réparer ses brûlures. Au lieu de cela il a si bien guéri s qu'il n'a eu qu'une petite cicatrice sur son pied. Ce fut un miracle.
Je sais que notre Père céleste écoute nos prières et qu'il veille sur nous. Il est prêt à nous aider quand nous prions, écoutons et suivons les inspirations du Saint-Esprit". (Cheryl A. Esplin, The Friend, mai 2012)
Favoriser la mise en pratique
Je sèche un peu pour la mise en pratique; mais vous pourriez peut être reprendre l'idée du parapluie ... faire dessiner un parapluie ou leur donner une belle image d'un parapluie et les enfants y écrive un engagement qu'ils prennent durant la semaine pour mieux écouter le Saint Esprit.
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